Contexte / constat
Public : Cap 1ère année Constructeurs de route / Canalisateur Constat : Travail ludique de fin d’année pour réviser les atomes. Objectifs
Modalités pédagogiques 1er temps : ⇰ Rappel de la notion d’atome. ⇰ Constitution des binômes non imposés. 2ème temps : ⇰ Identification des atomes sur lesquels ils doivent travailler à partir d’une classification périodique des éléments. lien vers la matrice ⇰ Remplissage de la matrice à partir de leurs connaissances et/ou avec des informations issues de leurs recherches (livres, documents personnels, multimédia…). ⇰ Elaboration pour chaque Atome d’une fiche descriptive à partir d’un modèle. lien modèle 3ème temps : ⇰ Création d’un Qr code pour chaque fiche atome en lien avec le tableau périodique. (Matrice du tableau) 4ème temps : ⇰ Affichage du tableau périodique. Bilan ⇰ Une bonne implication des jeunes dans l’ensemble pour préparer les fiches, même si pour certains celles-ci ne sont pas suffisamment abouties. ⇰ Il a été difficile pour quelques apprentis de devoir remplir la matrice et de créer 6 fiches. ⇰ Une réelle collaboration entre les différents apprentis et de l’entraide tout au long de l’élaboration du tableau. ⇰ Pour le public plus en difficultés, le temps imparti pour finir les fiches était trop court. ⇰ Une production riche ce qui implique un travail de suivi (relecture, reformulation, correction…) assez conséquent pour les formateurs en synchrone et asynchrone. Quelques pistes pour l’année prochaine : ⇰ Poursuivre le travail avec d’autres CAP 1ère année et ainsi finaliser le tableau en contextualisant davantage avec le métier des TP. Rodolphe Chaignon, formateur Maths/Informatique - niveau 5. Laure Lemarié, formatrice Math/Sciences/PSE - niveau 5 et niveau 4.
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Comment réviser les maths-sciences pour préparer l’examen du CAP ?Contexte / constat Public : Cap 2ème année Constructeurs de route / Canalisateur /Conducteurs d’engins Constat : Difficile de mobiliser les connaissances surtout sur ce qui a été vu en 1ère année, les apprenants ont tendance à oublier les chapitres vus à chaque fin d’année ! Objectifs
Modalités pédagogiques 1er temps : ⇰Brainstorming avec l’ensemble des apprentis pour faire le point sur les notions abordées au cours des 2 ans. (1h par groupe) ⇰Sur certains groupes la formatrice note les informations données par les jeunes et sur d’autres groupes, les apprentis ont pris spontanément le crayon pour écrire au tableau les mots qu’ils ont retenus en Maths Sciences (titres de chapitre, vocabulaire etc...). 2ème temps : ⇰ Constitution des groupes (de 2 à 4 apprentis) non imposés et production par les apprentis de 10 questions et 1 défi (avec les réponses) sur différents thèmes abordés en maths sciences. ⇰ Ils présentent leur travail sur un diaporama (Google Slide) et/ou sur un document (google doc) pour pouvoir projeter les questions au tableau. (2x2h par groupe). ⇰ La formatrice passe de groupe en groupe pour répondre aux questions si difficultés, valider les questions et réponses au fur et à mesure si possible. 3ème temps :
⇰Expérimentation du jeu questions/ réponses avec les différents groupes en compétition (2h par groupe) Règles de la compétition : ⇰ Les groupes doivent répondre à des séries de 10 questions dans un temps imparti pour chaque question. ⇰ A la fin de chaque série, une correction est réalisée par les jeunes eux-mêmes au tableau. La formatrice complète celle-ci si nécessaire.(1 question = 1 point) ⇰ Les points sont comptés à la fin de la séance et l’équipe qui totalise le plus de points reçoit une récompense. Bilan ⇰ Une bonne implication des jeunes dans l’ensemble pour préparer des questions, des problèmes même si pour certains le quota des dix questions n’a pas été atteint. ⇰ Il a été difficile pour quelques apprentis de devoir créer les questions, d’élaborer un problème ou même de résoudre le problème. Il a donc été convenu avec eux et leur formatrice de réduire le nombre de questions pour que celles-ci soient de qualités. ⇰ Une réelle collaboration entre les différents apprentis et de l’entraide tout au long de l’élaboration du jeu. ⇰ Pour le public plus en difficultés, le temps imparti pour répondre à certaines questions ou problèmes était trop court. ⇰ Une production très riche en questions / réponses ce qui implique un travail de suivi (relecture, reformulation, correction…) assez conséquent pour le formateur en synchrone et asynchrone. Quelques pistes pour l’année prochaine : ⇰ Ne pas mélanger les métiers lors de la constitution des groupes (pb lié à la planification des groupes sur différentes semaines ; groupe de travail mixte pour l’élaboration des questions réponses et groupe par métier au moment de l’expérimentation). ⇰ Faire apparaître à chaque question la ou les notions du programme abordées ⇰ Elaborer directement des diaporamas pour ne pas consacrer trop de temps à la mise en page. Laure Lemarié, formatrice Math/Sciences/PSE - niveau 5 et niveau 4 Expérimentation : Hervé Culas/ Lycée Désiré Nisard/Chatillon sur Seine/ Bourgogne
Mode opératoire :
Résultats :
Paroles d'élèves :
Sur les 11 élèves :
Cette expérimentation a permis d'aborder le savoir S 0.1 ; S 0.3 ; S 0.4 du référentiel CAP conducteur d'engins TPExpérimentation pédagogique réalisée par Hervé Culas, CFA La Barotte, FRTP Bourgogne.Modalité pédagogique : Ecole inversée. Le principe consiste à faire utiliser une ressource en ligne, associée à une prescription, et à laisser les apprenants être actif, découvrir, et comprendre par eux-mêmes, pour clôturer un cours réalisé de manière classique auparavant. Mode opératoire :
Résultats :
Paroles d'élèves :
Sur les 11 élèves :
Auteur : Hervé Culas - CFPPA La Barotte
Depuis quelques temps, certains formateurs à l’ETPN comme Christophe Rahier, formateur en Construction de Route ou Régis Cordier formateur en dessin technique donnent la possibilité pour les apprenants de travailler en musique. Dans les temps de travail personnel, les apprenants peuvent en effet écouter en utilisant un casque audio, leurs musiques préférées. Pour des activités comme le dessin ou dans le cadre d’une démarche d’investigation, les formateurs ont pu constater une meilleure productivité et surtout une capacité à rester concentré plus longtemps. Cette démarche présente un intérêt réel dans le cadre des enseignements en CFA. Les apprenants montrent souvent un réelle difficulté de concentration en salle de classe. Habitués, en entreprise, à toujours être en mouvement, ils associent souvent ce dernier à une capacité de concentration et cela leur donne un sens à ce qu’ils font. Ainsi, leur permettre de s’isoler en écoutant une musique qui leur plaît offre un refuge et donc un univers qui les rassure et dans lequel ils se sentent bien, donc propice à leur concentration. Que doit-on en penser ? Cependant, un certain nombre d’études menées depuis le début des années 70 montre que la musique doit être adaptée à l’activité intellectuelle demandée, autorisée ou proscrite selon les objectifs donnés. Les conclusions empiriques de nos formateurs doivent être analysées au regard de ce que dit la science. Hervé Platel, professeur de neuropsychologie à l’université de Caen, explique en mars 2014 au webzine Atlanico : “Travailler en musique peut effectivement être une bonne idée, tout dépendant évidemment du type de travail à effectuer. Tant qu'il n'y a pas besoin de prendre connaissance ou de manipuler des textes, d'être en interaction avec des personnes, il peut être bénéfique de travailler en musique. A partir du moment où le travail s'avère un tant soit peu répétitif et ne nécessite pas d'être particulièrement concentré, s'entend. La musique devient alors stimulante et permet de moins ressentir la fatigue.” Pourquoi ? Mais en quoi la musique permet de mieux travailler ? En réalité, le fait de pouvoir s’isoler avec un casque audio permet de limiter les interférences de l’environnement particulièrement dans une salle de classe. Ainsi, l’apprenant est moins enclins à interpeller son voisin ou à être sollicité par ce dernier. Par ailleurs, comme l’explique Hervé Platel : “La musique a également tendance, et notamment quand elle nous plaît, à stimuler notre circuit de la récompense, qui délivre de la dopamine. Quand un individu écoute une chanson qui lui plaît, il aura donc un regain d'énergie plus que susceptible de l'aider à accomplir les tâches qu'il est censé compléter.” Enfin, Teresa Lesiuk, chercheuse à l’Université de Windsor citée sur le site de France Musique explique que la musique diminue le stress et l’anxiété. Ainsi, sur une même tâche, ceux qui travaillent en musique sont plus rapides et proposent les meilleures idées. La musique, oui mais pas n'importe comment. Cependant, il faut pondérer la situation de travail en musique. En effet, toutes les activités ne sont pas adaptées. Celles qui nécessitent la mémorisation ou une réflexion soutenue ne seront pas compatibles. Par ailleurs, tous les genres musicaux ne sont pas adaptés. Hervé Platel explique que les musiques avec des paroles peuvent nous distraire. Il est préférable d’écouter une musique neutre telle que le classique ou le jazz. Il semble évident qu’écouter de l’Heavy Metal n’aide pas à la concentration ni Céline Dion, non plus, mais pour cette dernière ce n’est qu’un avis personnel. Comment faire avec nos apprenants ? Plusieurs possibilités s’offrent à nous, formateurs. Pour permettre à nos apprenants d’écouter de la musique en travaillant, il ne suffit pas de grand chose. D’un côté, ils peuvent avoir de la musique téléchargée sur leurs smartphones ou sur une clé USB quand ils sont sur un PC. Les smartphones permettent également de se connecter en wifi sur le réseau de l’établissement. Ils peuvent donc écouter de la musique en streaming (Deezer ou Musicme) à partir du moment où le DSI n’a pas restreint les accès à ces plateformes ! Sébastien Guillevic Référent pédagogique Idrop Contexte /constat
En première année et en début de deuxième année, les maths ont surtout été travaillées sous forme de révisions. (Cours exercices d’applications, cartes mentales,...). Au cours de cette “longue” année des problèmes de mise au travail, de discipline ont été récurrents. Le sujet qui leur a été proposé a donc été le “sujet de la dernière chance”. Objectifs
Modalités pédagogiques A partir d’une demande , établir un devis pour le présenter à un éventuel client. Travail demandé en individuel. (Autogestion du projet) Mode opératoire
les étapes
Compétences mises en oeuvre Élaborer un devis/ maths appliquées/dessin/lecture de plan/Prévoir, anticiper les besoins/ préparer un plan d’action/Planifier son travail Prise en main de logiciel du type Autocad /google sketchup /Utilisation d’un tableur. Mon rôle Les accompagner, structurer leur travail, faire respecter les points de vigilance, récolter les informations qui peuvent être communes à l’ensemble du groupe (ex. prix de l’eau, photo…) Résultats Le projet a été construit au fur et à mesure de l’avancement des apprentis. Les stagiaires ont travaillé à des vitesses différentes. Une bonne dynamique de groupe, de l’entraide… Davantage d’échanges entre le formateur et les apprentis. Développement de l’argumentation et accentuation de la prise de parole des apprentis. Un seul stagiaire n’a pas adhéré au projet. Perspectives que faire par la suite? Suggestions des apprentis pour le reste de l’année, choisir 2 projets plus courts (2 à 3 séances) - faire un parking, - terrassement d’une maison avec réseaux ‘canalisations gaines électricité, téléphone… - terrassement d’un particulier en imposant un budget. Mettre davantage de contraintes (partir de cotes déjà définies), travailler en équipe, sous forme de challenge, présenter le devis à un éventuel client. Pouvoir le mettre en application (concret) à l’Etpn. (Réaliser ou faire réaliser le chantier) Comment le médiatiser? Il faudrait que les devis soient validés par un formateur pro Faire apparaître l’exercice tel quel sur Idrop (comme première expérimentation avec les titres niv IV Témoignages des apprentis C’est mieux, c’est plus concret, il y a davantage de lien avec le pro, c’est plus intéressant. Laure Lemarié (Formatrice en Mathématiques) IRFAPour la création du module Prise de Poste (tracto pelle) il a été procédé de la façon suivante :
> Temps de travail Formateur/AssistantNumérisation - Faire un point sur la conduite d'engin en général. - Dégager des grands axes (Prise de poste, Entretien, etc.) - Récupérer les ressources capitalisées par le formateur (Photos, videos, etc.) > Travaille des apprentis et partage. - En salle, le Formateur demande aux apprentis de rédiger leur propre "Prise de poste". - Les différentes versions des prises de postes sont transmises à l'Assistant Numérisation via le Drive, et quelque soit leur support. GoogleDocs/ GoogleSlides/ Photos. > Capitalisation des données - L'assistant numérisation sur la base des productions des apprenants rédige un article synthètique. > Publication des articles Lorsque l'article/module est publié, et afin de susciter un effet de feed back sur les contenus disponiobles dans iDrop, l'Assistant Numérisation informe par mail les participants que les données sont en ligne, en leur demandant d'en vérifier le contenu et la coherence.
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Classe inversée
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